The Politics of Micro-Decisions | Edward Snowden, Net Neutrality, and the Architectures of the Internet
Résumé / 4e couv.
Be it in the case of opening a website, sending an email, or high-frequency trading, bits and bytes of information have to cross numerous nodes at which micro-decisions are made. These decisions concern the most efficient path through the network, the processing speed, or the priority of incoming data packets. Despite their multifaceted nature, micro-decisions are a dimension of control and surveillance in the twenty-first century that has received little critical attention. They represent the smallest unit and the technical precondition of a contemporary network politics - and of our potential opposition to it. The current debates regarding net neutrality and Edward Snowden’s revelation of NSA surveillance are only the tip of the iceberg. What is at stake is nothing less than the future of the Internet as we know it.
Sprenger, Florian. The Politics of Micro-Decisions. Edward Snowden, Net Neutrality, and the Architectures of the Internet. Meson Press, 2015.
Lien vers le site de l’éditeur : https://meson.press/books/the-politics-of-micro-decisions/
Disponible aussi ici : https://mediarep.org/handle/doc/1124
Résumé / 4e couv.
In the networked twenty-first century, digital platforms have significantly influenced capital accumulation and digital culture. Platforms, such as social network sites (e.g. Facebook), search engines (e.g. Google), and smartphones (e.g. iPhone), are increasingly crucial because they function as major digital media intermediaries. Emerging companies in non-Western countries have created unique platforms, controlling their own national markets and competing with Western-based platform empires in the global markets. The reality though is that only a handful of Western countries, primarily the U.S., have dominated the global platform markets, resulting in capital accumulation in the hands of a few mega platform owners. This book contributes to the platform imperialism discourse by mapping out several core areas of platform imperialism, such as intellectual property, the global digital divide, and free labor, focusing on the role of the nation-state alongside transnational capital.
Jin, Dal Yong. Digital Platforms, Imperialism and Political Culture. Routledge, 2015.
Lien vers le site de l’éditeur : https://www.routledge.com/Digital-Platforms-Imperialism-and-Political-Culture/Jin-Curran/p/book/9781138859562
Résumé / 4e couv.
Le 19 juillet 2014, le journal Le Soir révélait à Bruxelles que selon des estimations américaines, britanniques et belges, la France, la Belgique, le Royaume-Uni, l’Italie, la Pologne et les États-Unis pourraient perdre entre 43 et 50 % de leurs emplois dans les dix à quinze prochaines années. Trois mois plus tard, le Journal du dimanche soutenait que trois millions d’emplois seraient condamnés à disparaître en France au cours des dix prochaines années.
L’automatisation intégrée est le principal résultat de ce que l’on appelle « l’économie des data ». Organisant des boucles de rétroactions à la vitesse de la lumière (à travers les réseaux sociaux, objets communicants, puces RFID, capteurs, actionneurs, calcul intensif sur données massives appelées big data, smart cities et robots en tout genre) entre consommation, marketing, production, logistique et distribution, la réticulation généralisée conduit à une régression drastique de l’emploi dans tous les secteurs – de l’avocat au chauffeur routier, du médecin au manutentionnaire – et dans tous les pays.
Pourquoi le rapport remis en juin 2014 au président de la République française par Jean Pisani-Ferry occulte-t-il ces prévisions ? Pourquoi le gouvernement n’ouvre-t-il pas un débat sur l’avenir de la France et de l’Europe dans ce nouveau contexte ?
L’automatisation intégrale et généralisée fut anticipée de longue date – notamment par Karl Marx en 1857, par John Maynard Keynes en 1930, par Norbert Wiener et Georges Friedmann en 1950, et par Georges Elgozy en 1967. Tous ces penseurs y voyaient la nécessité d’un changement économique, politique et culturel radical.
Le temps de ce changement est venu, et le présent ouvrage est consacré à en analyser les fondements, à en décrire les enjeux et à préconiser des mesures à la hauteur d’une situation exceptionnelle à tous égards – où il se pourrait que commence véritablement le temps du travail.
Stiegler, Bernard. La société automatique 1. L’avenir du travail. Fayard, 2015.
Lien vers le site de l’éditeur : https://www.fayard.fr/sciences-humaines/la-societe-automatique-9782213685656